Partager la publication "Pourquoi faudrait-il donner un sens/but à sa vie ?"
Voici littéralement la question posée par Valérie, en commentaire du billet sur le top 10 des citations pour reprendre sa vie en main. Merci à elle d’avoir partagé son questionnement qui, du coup, m’a fortement inspiré. Et plutôt que lui répondre avec un simple commentaire, j’ai préféré vous en faire profiter aussi en vous concoctant ce billet estival. Il est assez long, je préfère vous prévenir dès maintenant. Voici donc une réponse vue uniquement depuis ma fenêtre (comme d’habitude en fait).
Alors, c’est vrai après tout, pourquoi faudrait-il donner un sens ou un but à sa vie ? Je connais des tas de gens qui avancent dans leur vie en se sentant bien dans leurs baskets, sans pour autant répondre au fameux « Pour Quoi » de leur vie. Et c’est OK comme ça.
À mon avis, c’est au moment où la question s’invite dans les pensées d’une personne qu’elle mérite d’être explorée.
Avant de répondre plus précisément à la question de Valérie, je vous propose de clarifier un peu les termes de sa question. Et notamment, je m’arrêterai sur « faudrait-il » et « sens/but » qui demandent un petit arrêt sur image.
Les « il faut », « je dois » et compagnie
Cela fait belle lurette que certains mots sont bannis de mon vocabulaire quotidien. Parmi eux, les verbes falloir et devoir ont été gentiment remerciés dans les premières années de ma pratique de coach. Exit les pressions auto-infligées qui, quand on prend un peu de recul, apparaissent comme complètement inutiles voire carrément néfastes pour mon équilibre intérieur.
Pour la petite histoire, ces deux verbes font partie de ce que la PNL (Programmation Neuro-Linguistique) appelle les « opérateurs modaux de nécessité »; ils expriment une sorte de contrainte établie par « ON » ne sait qui et dont vous en avez fait une règle générale à vous appliquer. Dans l’autre sens, si c’est vous qui employez ces termes à l’encontre de l’autre, c’est vous qui lui imposez vos règles par voie autoritaire, voire dogmatique. Pas tip-top pour la qualité relationnelle.
Exemples :
- Je dois aider cette personne
- Il faut que j’obtienne cet accord
- Tu dois me rendre ce service
- Je dois réussir
- Il faut que je donne un sens à ma vie
- Tu dois te trouver un but dans la vie
- Je dois continuer dans cette voie
- etc.
En général, l’emploi de ces deux termes instaure automatiquement une pression psychologique bien inconfortable chez vous (ou chez la personne en face de vous). De là, deux options se présentent :
- Soit vous répondez à l’injonction et réaliserez l’action avec une motivation au ras des pâquerettes. (rappelez-vous la dernière fois que vous « DEVIEZ » aller chez Tata Fifine alors que vous n’aviez vraiment pas envie)
- Soit vous vous employez à trouver toutes les stratégies possibles et imaginables pour contourner le projet, voire le fuir purement et simplement (coucou procrastination).
A ce propos, j’avais commis une petite vidéo il y a quelque temps sur ces contraintes souvent auto-imposées : « Comment se motiver ? »
La différence entre finalité, but et objectif
Bon, je ne vais pas m’engager dans une dissert. de philo. Je laisse ça aux étudiants passant leur bac; ils le feront mieux que moi. Je vous propose ici un point de vue plutôt orienté coaching et développement personnel.
Au début d’un accompagnement en coaching, la coutume est d’élaborer un objectif avec ma cliente ou mon client. Parmi les questions exploratoires, il y a celle concernant la finalité et le but de sa démarche. À première vue cela semble pareil, mais quelques subtilités demeurent.
La finalité
Dans une démarche de coaching, la finalité est ce qui se rapproche le plus d’un idéal à long terme (et donc par définition pas toujours accessible). L’expression de cette finalité est relativement abstraite, mais a l’avantage de donner une ligne directrice à votre projet. Une sorte de cap vers lequel naviguer.
Trouver la finalité de votre projet revient à répondre à la question :
Quel est l’idéal que vous souhaitez obtenir à la fin de votre démarche ?
Quelques exemples de finalités dans le coaching et le développement personnel tirés de quelques premières séances avec mes client(e)s :
- Avoir une vie stable et harmonieuse
- Jouir d’une aisance financière et matérielle
- Être épanouie dans mon travail
- Avoir une influence positive autour de moi
- Ressentir une forme de sérénité intérieure
- Me sentir à ma place, quel que soit le contexte
- etc.
Le but
Avec un but, on commence déjà à rentrer un peu plus dans le concret. Le but correspond à l’un des moyens d’atteindre votre finalité. Il se place temporellement à moyen terme dans votre projet et vous permet de vous projeter plus facilement dans sa réalisation. À noter qu’il peut exister plusieurs buts pour une même finalité.
Trouver le but de votre projet revient à répondre à la question :
Par quoi / par où est-il important de passer avant d’atteindre votre idéal ?
Quelques exemples de buts en lien avec les finalités précédentes (dans l’ordre) :
- Reprendre ma vie en main
- Me créer une activité lucrative
- Trouver un environnement professionnel qui me correspond
- Développer mon leadership
- Lâcher-prise sur différentes sources de stress
- Acquérir une certaine autonomie affective
- etc.
La formulation d’un but est toujours relativement imprécise, mais a l’avantage de créer un espace dans lequel des actions concrètes vont prendre leur place. C’est là qu’interviennent les objectifs.
L’objectif
Enfin avec les objectifs vous êtes dans les moyens concrets et pratico-pratiques vous permettant de progresser vers votre ou vos buts. En outre, ils possèdent les caractéristiques détaillées que voici :
Ils sont spécifiques, contextualisés et précis dans leur formulation,
Ils sont mesurables grâce à des indicateurs de progression et de réussite
Ils sont atteignables d’un point de vue logistique et pragmatique
Ils sont planifiés selon des échéances temporelles
Ils respectent votre équilibre personnel et celui de votre entourage.
Quelques exemples d’objectifs en lien avec les buts précédents (dans l’ordre)
- Pendant 1 semaine, faire un état des lieux de la satisfaction de mes besoins fondamentaux dans mes différents domaines de vie en ce moment (physique, psychologique, émotionnel, relationnel, intimité, développement de soi, social, cognitif)
- Évaluer la faisabilité et la rentabilité de mon projet professionnel en établissant un business-plan détaillé d’ici 1 semaine.
- Entreprendre d’ici la fin de la semaine les démarches nécessaires pour faire un bilan de compétences en utilisant mon Compte Personnel de Formation
- M’inscrire avant la fin du mois à un stage dont le thème principal est le développement du leadership.
- Ce weekend, faire l’inventaire de mes principales sources de stress et identifier dans chacune d’elles les éléments qui dépendent de moi et ceux qui ne dépendent pas de moi.
- D’ici la fin du mois, organiser pour moi-même 4 moments agréables où j’éprouverai du plaisir sans culpabilité.
À noter qu’il existe pléthore d’objectifs pour atteindre un même but; rappelez-vous l’expression « tous les chemins mènent à Rome«
Et le sens dans tout ça ?
Le parti pris de cet article n’est pas de traiter du sens de la vie. Au-delà du fait que ce serait un trop gros morceau à traiter en quelques lignes, il ne serait pas en lien direct avec la question posée par Valérie. En outre, j’avais déjà commis un billet spécifique sur le sujet du sens de la vie, il y a quelques années avec cet article « Trouver un sens à sa vie »
Pour l’heure, je vous propose de continuer sur la question de départ, sujet de cet article.
Comme je le laissais entendre au début, il n’y a donc aucune obligation à donner un sens ou un but à sa vie. C’est avant tout une question de choix personnel en fonction d’un questionnement existentiel apparaissant (peut-être) à une certaine période de sa vie. Une sorte de chemin que l’on entrevoit d’abord et qu’éventuellement on emprunte ensuite.
Si je mesure mes propos avec des « peut-être » et des « éventuellement », c’est bien pour marquer le caractère non obligatoire de la démarche. Bien que travaillant dans ce passionnant domaine qu’est le coaching et le développement personnel depuis dix ans, je reste prudent, voire allergique, face aux injonctions de bonheur qui circulent dans le milieu. Mon autre activité de soignant en institution psychiatrique depuis plus de vingt ans me permet aussi de garder les pieds bien ancrés au sol en gardant à l’esprit que « tout n’est pas aussi simple et magique qu’il n’y paraît ».
Je peux comprendre cette question que m’a posée Valérie.
Le « marché du bonheur » a de plus en plus tendance à véhiculer des messages s’apparentant à des injonctions. J’avoue que moi-même, je peux parfois être borderline dans ma façon de communiquer sur mon activité de coach. Rien que sur la page d’accueil de ce site, la phrase d’accroche est « Reprenez votre vie en main ! »; si ça, c’est pas une injonction…
Pour autant, je reste quand même vigilant à ne jamais véhiculer des messages culpabilisants dans mes articles, mes infolettres et bien entendu avec mes client(e)s. En effet, les injonctions du type « soyez heureux« , « donnez un sens à votre vie » et toutes leurs cousines ont un effet secondaire bien lourd à porter pour celles et ceux qui, précisément, ont le sentiment de NE PAS être heureux ou NE PAS pouvoir donner un sens à leur vie; je veux bien sûr parler de la CULPABILISATION.
En effet, qu’advient-il lorsqu’un objectif n’est pas atteint ? Que se passe-t-il si le projet sur lequel vous vous investissez échoue ? Et si malgré vos changements, la relation avec votre partenaire se termine en fiasco ? Comment se fait-il que ce soit si long de reprendre votre vie en main ?
Autant de questions dont bon nombre de gourous du développement personnel ne manqueront pas de répondre que VOUS ne faites pas les choses exactement comme ILS vous l’ont dit, que VOUS ne travaillez pas assez dur pour atteindre votre objectif, que VOUS n’êtes pas assez ceci, ou que VOUS êtes trop cela. Bref, autant de réponses qui peuvent vous laisser un arrière-goût amer de culpabilité.
L’une des options pour sortir de cette mélasse nauséabonde est d’envisager les difficultés voire les échecs comme faisant partie intégrante de votre chemin de vie. Cela n’a pas toujours à voir avec la volonté, la positive attitude ou les efforts que vous faites.
Ce matin encore, une cliente me disait qu’elle avait l’impression de faire « un pas en avant et trois en arrière » tant certaines difficultés la rattrapaient dans son quotidien, lui faisant ressentir cette culpabilité dont je vous parlais. En lui proposant de voir les choses sous un autre angle, la pression diminuait; cet angle était celui de considérer sa progression selon le rythme de « deux pas en avant et un en arrière », argumenté par les petites victoires qu’elle avait obtenu sur elle-même ces derniers temps.
Et pourtant il existe
Alors oui, il y a bien des personnes qui ont trouvé et donnent un sens à leur vie. Mais qui sont-elles ? Comment font-elles ? Où le trouvent-elles ?
Si quelques-unes y sont effectivement parvenues après une remise en question existentielle, à la suite d’un changement dans leur vie ou d’un événement marquant, la grande majorité de nos semblables arrivent au même résultat de manière instinctive, sans passer par la case « Où cours-je, où vais-je, dans quel état j’erre ? »
Le sens, elles le trouvent dans leurs actions du quotidien, aussi modestes soient-elles, dans les projets qu’elles mettent en oeuvre au fur et à mesure que les années passent, dans le plaisir et l’engagement qu’elles ressentent dans leurs activités diverses et variées, dans les liens sociaux qu’elles tissent autour d’elles, dans l’éducation de leurs enfants, etc.
Toutes ces personnes n’appellent pas forcément ça le sens de leur vie, mais force est de constater en les observant que leur vie a un sens.
Pensez à partager cet article avec vos amis sur les réseaux…
Bonjour Christophe,
Et merci pour cet article qui m’a interloquée ! Donner un sens à sa vie : n’est-ce pas une évidence ? Une de ces idées qu’on pense aller de soi … Avec cet article, je me rends compte encore une fois que ce sont les évidences qui sont les plus intéressantes à questionner !
Je me pose quand même une question : est-ce qu’on ne risque pas, à un moment ou à une autre de sa vie, de faire face à une dépression si on avance sans but conscient ?
En tout cas, j’ai trouvé l’approche pour trouver ses objectifs très intéressante … Je m’en vais de ce pas l’essayer !
Bonjour Aline
Merci de ton message.
Pour répondre à ta question, je n’en suis pas sûr.
S’il est avéré que beaucoup de dépressions sont consécutives à un manque (ou une perte) de sens dans la vie des personnes qui en souffrent, l’inverse n’est pas forcément vrai. Je ne sais pas pour toi, mais perso, j’observe autour de moi quantité de gens (amis, famille, connaissances) qui avancent de manière sereine voire épanouie dans leur vie sans avoir de but conscient.
Comme je le disais à la fin de l’article, je crois que sans forcément y mettre des mots ou une réflexion existentielle, elles trouvent du sens dans tout ce qui compose leur quotidien; et ça leur suffit largement.
Bonjour Christophe
J’ai beaucoup apprécié lire votre article. J’aime votre approche de donner sens par la fixation d’objectifs, de but à atteindre.
J’ajouterai juste qu’il faut apprendre à être indulgent avec soi-même. Tout ne peut être réussi ou atteint dans le mois, l’année. Ce qui importe c’est d’être persévérant et de voir le verre à moitié plein sans nous accabler et nous dénigrer. Comme vous le dites il faut aller à son rythme et se détacher des avis ou normes (livres ou gourou ) des uns et des autres. Merci
Bonjour Emilia
Merci pour votre commentaire.
Entièrement d’accord avec l’indulgence vis-à-vis de soi-même. Et d’autant plus dans le domaine du développement personnel où parfois les discours culpabilisants font des dégâts.
Bonjour Christophe
Je te remercie pour cet excellent article qui répond de manière exhaustive à la question de Valérie. Je comprends son questionnement face à une quête de sens qui peut paraître superflue tant que la vie s’écoule sans heurts ni obstacles. Aussi, ce n’est pas le sens global de la vie qui importe mais celui que lui attribue une personne à un moment donné de sa vie. En effet, chacun de nous est unique, de par sa situation et son histoire. En revanche, face à une réalité qui s’impose à nous, nous avons la responsabilité et le choix des attitudes que nous adoptons envers les gens et les situations.
J’ai été particulièrement inspiré par la dernière partie de ton article « Et pourtant il existe » et la question d’Aline. Ils ont fait écho en moi à une citation du sage juif Hillel que je tiens à partager avec toi et tes lecteurs :
« Si je ne le fais pas, qui le fera ?
Et si je ne le fais pas maintenant, quand le ferai-je ?
Mais si je le fais seulement pour moi, qui suis-je ? »
Aussi, pour moi, l’important n’est pas ce que nous attendons de la vie, mais ce que nous apportons à la vie. Au lieu de se demander si la vie a un sens, il faut s’imaginer que c’est à nous de donner (ou pas) un sens à la vie à chaque jour et à chaque heure, de par les gestes, les habitudes, les actes que l’on va semer dans notre existence.
Et si plutôt que de braquer les yeux vers un futur pour le moins aléatoire, pour répondre à des injonctions de bonheur et d’estime de soi, nous répondions simplement à ces questions :
– Ici et maintenant, qu’est-ce que je peux faire pour devenir plus joyeux, plus libre et plus aimant ?
Et éventuellement en option
– Ici et maintenant, que puis-je apprendre de l’existence ?
Et pour les adeptes du zen (ou pas), méditer le koan « Ce qu’il te manque, cherche-le dans ce que tu as. » me semble un bon moyen d’élargir le cadre de la réflexion.
Merci pour ton conseil de se fixer des objectifs pour reprendre en mains notre vie et surtout pour la méthode pour y parvenir.
Merci Jean-Claude pour ton commentaire très riche et pertinent.
J’aime et adhère à ton point de vue sur ce passage :
« Aussi, pour moi, l’important n’est pas ce que nous attendons de la vie, mais ce que nous apportons à la vie. Au lieu de se demander si la vie a un sens, il faut s’imaginer que c’est à nous de donner (ou pas) un sens à la vie à chaque jour et à chaque heure, de par les gestes, les habitudes, les actes que l’on va semer dans notre existence. »
Cette disposition psychique et comportementale rend la personne actrice de sa vie.
Quant au koan dont tu parles, il a été l’un de mes préférés il y a quelques temps. Si bien, qu’il figure parmi quelques autres au dos de mes cartes de visites 😉
Puisque tu es sensible à la chose, je t’en propose un autre qui m’a aussi beaucoup plu : « Pour savoir si l’eau d’un bol est chaude ou froide, il faut y mettre le doigt. Rien ne sert de discuter ».
Au plaisir d’un prochain échange.
« Falloir » et « devoir ». J’aimerai prendre, au moins un peu, leur défense.
Ta proposition de les remplacer par choisir est pertinente, en même temps ces deux opérateurs modaux de nécessité ne sont pas exempt d’intérêt. Je trouve, personnellement, qu’ils permettent de se décharger d’une responsabilité que notre inconscient nous poussent à prendre, alors qu’a y réfléchir, il n’y a pas lieu.
Exemple : lors de mon activité de pompier j’ai régulièrement était amené à pratiquer des réanimations, peu ont ramené les victimes. Je n’en ai jamais été ému, parce qu’après avoir analysé le contexte, j’en suis venu a considérer que « j’ai fais ce qu’il y avait a faire » autrement dit « j’ai fait mon devoir ».
En attribuant la responsabilité du décès a une cause extérieur à moi même, je pouvais poursuivre ma vie sans souffrance, regret ou remord. (ce qui n’empêche pas de regarder, en face et scrupuleusement, la qualité de son travail)
Dans un autre domaine, j’ai constaté l’intérêt de ces opérateurs modaux. J’ai régulièrement eu l’occasion d’échanger avec des chefs d’entreprise, des directeurs de site (industriel, …), directeurs d’associations, … Ils ont, pour certain, plus de travail qu’ils ne peuvent en faire. Lorsque je leur demandais comment ils gardaient leur équilibre, malgré la pression induite par ces responsabilité. La réponse était parfois du genre : « J’ai fait ce qu’il fallait ».
J’ai trouvé cette manière de voir les choses intéressantes.
Il me semble qu’en PNL il y a une distinction entre les causes sur lesquels on peut changer quelque chose et les celles ou on ne peut pas.
Bonjour Pierre
Merci pour ton commentaire très pertinent et réfléchi.
Je suis bien d’accord avec toi. L’important quand on décide d’employer un mot plutôt qu’un autre est de voir d’abord le contexte dans lequel on se trouve. La contextualisation des choses est aussi un principe de base en PNL.
Et en effet, faire la distinction entre ce qui dépend de soi (et que l’on peut changer) et ce qui ne dépend pas de soi (et donc qu’on ne peut changer) est une clé universelle. D’ailleurs, la PNL n’a rien inventé; ce concept a déjà été élaboré par les stoïciens dans la grèce antique.
A bientôt
Bonjour
Merci pour ce super blog et cet article particulièrement intéressant.
Pour ma part j’ai intégré dans ma démarche de développement cette méthode que j’utilise maintenant au quotidien et qui m’a vraiment aider : http://bit.ly/MedidationFacile
Cordialement ;
Jimmy
Bonjour,
Je suis vos articles depuis quelques temps maintenant et je les trouves très intéressant.
Etant fan de développement personnel, je suis tout à fait en phase avec ce que vous écrivez.
J’ai découvert le développement personnel avec l’excellente livre ‘Réfléchissez et devenez riche’ de Napoleon Hill.
Si vous ne connaissez pas je vous encourage à découvrir ses oeuvres:
http://go.657277616e6272657374z2ec696d6167696e6574.13.1tpe.net
Encore merci pour cet article, à bientôt
Bien sûr, tout le monde veut donner un sens à sa vie. Mais, il est souvent difficile de trouver l’étincelle qui va le booster. Sinon, il est impossible d’atteindre son vrai but. Merci pour ces conseils.
merci pour votre commmentaire et pour les mots d’encouragement