Aider quelqu’un c’est bien. Le faire en toute conscience c’est mieux. C’est vrai après tout; c’est bien gentil de savoir comment aider quelqu’un, que ce soit un voisin, un ami, un membre de la famille ou quiconque en aurait besoin; Seulement voilà, parfois votre élan de chevalier servant, bienfaiteur de l’humanité et défenseur de la veuve et de l’orphelin est sérieusement mis à mal par des retours de flammes auxquels vous ne vous attendiez probablement pas. Et c’est avec la tête à moitié cramée que vous ne tardez pas à jouer la symphonie du Caliméro en victime majeur. Le titre de la symphonie portera le doux nom de : « Après tout ce que j’ai fait pour toi » avec la variante « C’est comme ça que tu me remercies« . Je vous propose cette semaine de vérifier en 4 questions si ce que vous avez pris dans les dents était prévisible ou pas.
Question #1 avant d’aider quelqu’un : avez-vous réellement envie d’aider cette personne ?
Ça semble bête dit comme ça, non ? Et pourtant, combien de personnes voulant aider quelqu’un proposent leur aide en se sentant quand même un peu obligé ? Ce n’est pas forcément une question de manque de confiance en soi ou d’une hypothétique difficulté à dire non. Il y a d’autres facteurs qui entrent en jeu :
- Le potentiel manipulateur de la personne (certains sont experts en la matière)
- Le contexte dans lequel apparaît le « besoin » d’aide (quels sont les enjeux ?)
- Le type d’intention avec laquelle vous proposez votre aide (intention purement altruiste ou intéressée… même un tout petit peu 🙂 )
- Votre niveau d’intimité avec la personne (parfois, plus la personne est proche, plus il est difficile de ne pas proposer son aide)
- Le positionnement que vous avez dans la relation avec elle (en parité, hiérarchique, exclusive, professionnel, amical, familial, etc.)
Bref, déjà avec cette première question, il y a de quoi faire le tour de l’authenticité de votre envie d’apporter de l’aide à quelqu’un.
Question #2 avant d’aider quelqu’un : avez-vous la compétence pour le faire ?
La science infuse, ça n’existe pas. Ou alors montrez moi comment on fait, ça pourrait m’intéresser. Toutes les bonnes intentions du monde ne feront pas de vous un expert immédiat de la problématique que rencontre votre interlocuteur, précisément au moment où il vous le demande.
Certaines personnes choisissent de s’engager dans une action aidante sans avoir la compétence pour mener à bien cette action. Leur volonté d’aider quelqu’un est noble, mais le résultat est soumis à beaucoup trop de paramètres aléatoires pour que l’aide soit la plus efficace possible. Un dialogue intérieur du genre “Si je ne l’aide pas, il (ou elle) va penser que je m’en fiche” peut pousser cette personne à aider quelqu’un dans un domaine qui aura tôt fait de la dépasser.
Je crois qu’au contraire, admettre et partager vos limites dans l’aide que vous pouvez apporter à quelqu’un dans un domaine que vous ne connaissez pas sera bien plus respectueux vis à vis de lui. Il vous en sera d’autant plus reconnaissant que vous l’aurez éventuellement diriger vers un de vos contact ayant la fameuse compétence en question.
Question #3 avant d’aider quelqu’un : cette personne vous a-t-elle clairement demandé de l’aider ?
A votre avis, quel est le mot le plus important dans cette question ? Oui, c’est bien “clairement”. Si vous lisez régulièrement les billets de ce blog, je ne vous apprendrai rien en vous disant que la communication est loin d’être un long fleuve tranquille. Que ce soit par interprétation, lecture de pensées, zones d’ombres, pensées magiques et tout ce qui ne s’entend pas, ce que vous prenez pour une demande n’en est pas forcément une. Vous êtes alors susceptible de vous engager dans une voie où vous n’avez pas été convié… et vous faire botter le cul pour en sortir.
D’autre part, plus une demande sera claire, moins grand sera le risque de tomber dans un éventuel jeu psychologique initié par votre interlocuteur.
Vous vous demandez peut-être comment reconnaître une demande claire ? Vous pouvez en obtenir une version relativement fiable en posant ces quelques questions à la personne visée :
- De quoi as-tu besoin ? Vous vous intéressez alors au contenu.
- Qu’attends-tu de moi ? Vous vous intéressez alors à la relation.
Question #4 avant d’aider quelqu’un : avez-vous effectué moins de 50% du travail en question ?
Une aide authentique est un soutien, un appui, ni plus ni moins. Si vous accomplissez les trois-quarts ou plus de la tâche de la personne que vous êtes sensé aider, vous n’êtes plus dans l’aide mais dans la prise en charge. Comme son nom l’indique bien, dans une prise en charge, vous vous “chargez” d’accomplir une tâche. D’ailleurs, le verbe charger a aussi une autre signification; celle d’alourdir quelque chose, et en l’occurrence ce sera vous qui serez alourdi.
En coaching, il y a un présupposé auquel je me réfère systématiquement. C’est le principe d’autonomie du client. Cela signifie que je suis convaincu que mon client est suffisamment autonome pour accomplir lui-même les actions qui l’aideront à avancer vers son objectif. Mon rôle est précisément de l’accompagner vers cette autonomie en explorant les différents chemins à emprunter.
Pour cette question, j’aime beaucoup le proverbe suivant :
Si tu donnes un poisson à un homme, il mangera un jour. Si tu lui apprends à pêcher, il mangera toujours
On fait les comptes
Si la réponse à ces quatre questions que vous vous posez avant d’aider quelqu’un est “oui”, alors il y a de grandes chances pour que l’aide que vous avez apportée soit la plus ajustée possible.
Si c’est un “non” qui sort à l’une ou plusieurs de ces questions, commencez à sortir les partitions, accorder les violons, lubrifier les trombones et chauffer les trompettes car la grande symphonie du Caliméro à la tête cramée en victime majeur ne tardera pas à retentir.
Pensez à partager cet article avec vos amis sur les réseaux…
je trouve l’article très intéressant , merci bien pour le partage.
Merci à vous pour ce retour 🙂
Bonjour,
Djé temps deux mon de A et dés aux tour de Moi queux vautre mais t’eau de sans bleu un dis pensable.
MERS SI.
Bon, j’ai essayé de faire un rébus (jeu d’esprit consistant à exprimer des mots ou des phrases par des lettres, des mots, des chiffres, des dessins et des signes dont la lecture phonétique révèle ce que l’on veut faire entendre) à ne pas confondre avec un rebut (ce qu’on a rejeté, ce qu’il y a de plus mauvais – dans un ensemble) mais il aurait été plus parlant si j’avais pu faire des dessins pour imager ma pensée.
Quoi qu’il en soit, vouloir aider son prochain est un sentiment Noble et ne peut être condamnable. Je n’ai pas de réponse à la question mais si chacun avait déjà la volonté d’aider son prochain à son niveau, le Monde n’en serait que meilleur.
Bonjour à vous!
Je désire fortement aider une personne ,une jeune femme avec 4 enfants ,qui a perdu son ami dans un accident.AUJOURDHUI elle est seule avec des problèmes de santé à faire face aux aléas de la vie.Elle doit assister ses enfants bien évidemment, les nourrir , elle travaille à temps partiel car pas de temps plein ,ses fins de mois sont déplorables elle est épuisée moralement et physiquement.Qu’est il possible de faire pour aider cette jeune femme?C’est mon humble question.
Bonjour Chene,
Merci pour votre témoignage.
Votre humble question génère une humble réponse : lui avez-vous demandé à elle ce qu’il est possible de faire pour l’aider ? Tout ceci en tenant compte des 4 questions vues dans ce billet.
Je vous souhaite le meilleur
Christophe
Bonjour comment faire pour faire venir me voir met il lui manque pour payer son billet de train .
Rendre service pour moi à une personne c’est lui demander son besoin. Si c’est dans mes cordes je m’empresse de l’aider dans la mesure du juste milieu, c’est à dire selon que je suis tjrs bien de lui être utile et non-utilisé. Je le fais avec mon instinct et mon coeur qui se veut généreux./Il y a ce genre de personne qui dit: »Si tu as besoin, gêne-toi pas, je suis là pour toi. » Puis lorsqu’on a besoin, il n’y a plus personne./
Ma santé fait des siennes, passagère.Je vie seule. Je dis CLAIREMENT à deux amitiés (femmes) que je ne peux utiliser mon véhicule et faire mon épicerie. A l’une, par prudence je demande pour être conduite avec mon véhicule, chez l’ostéopathe. De me répondre: »Je ne peux pas te conduire car je travaille, j’aurais bien voulu te rendre service! » Le choix de la journée aurait pu être reporté, elle le savait très bien. / Seconde amie,je lui avais demandé pour mon épicerie…qui s’est envolée avec le phrasé des autres paroles sans doute. Je reviens plus tard lui demander: »Qu’est-ce que ça veut dire pour toi RENDRE UN SERVICE ??? »Jaser, t’écouter,passer de l’argent si je le peux. »Elle trouve difficile de trouver les bons mots à mon questionnement … »Je lui donne 2 exemples. Pour moi,c’est de te conduire chez ton médecin. »Wouais, ça me rend vraiment service! » Toi, ce pourrait être de me demander si j’ai besoin de qque chose à l’épicerie quand tu te rends faire la tienne. Elle trouve mon explication excellente mais ne me l’offre pas. En passant, cette personne est vraiment aidante au quotidien. / Je sais en écrivant que je dois formuler clairement mes demandes. Humainement parlant et pour ces 2 personnes me connaissant très bien, elles les entendent mes besoins et mes demandes. Faut-il se mettre à genoux ? Plutôt embarrassant.Surtout que je suis de celle qui leurs rend bcp de services, grands ou petits./ Nous ne sommes pas tous des psychologues ou des personnes (échelle d’instruction) avec la facilité du vocabulaire bien dit ou la bonne façon de formuler.
Peut-on s’attendre à un élan du Coeur sans outrepasser toutes les études supérieures.
Expliquez-moi ce que je devrais en comprendre ???
bonjour j’aimerais aider mon ex copain qui ma quitté pour pas me faire de male et me faire souffrir à cause de ses problème d’argent de drogue fin il est vraiment pas bien et dans la galère. Il ne m’avait jamais parlé de tout ça avant qu’il me quitte et m’explique sa » vrais » vie. Du coup je lui ai dit que je serais toujours la quoiqu’il arrive et qu’il peut compter sur moi. Mais il me donne aucune nouvelles mais j’ai envie de l’aider et de le sortir de ce gouffre mais je sais pas comment faire. Si il me répond pas et veut plus aucun contacte avec moi c’est qu’il ne veut pas mon aide ?
Bonjour Lucile
Merci pour votre message.
La réponse se trouve dans la question que vous vous posez à la fin du message.
Avec mes clients en coaching, j’illustre souvent le changement d’une personne comme une porte fermée de l’intérieur. Si vous souhaitez entrer chez cette personne en frappant à la porte et qu’elle ne vous l’ouvre pas, vous aurez beau tambouriner plus fort, hurler, vous rendre malade pour entrer, si elle n’ouvre pas la porte d’elle-même, vous resterez sur le palier.
Le changement, c’est pareil. Si une personne ne veut pas, pour X et Y raisons, que vous l’aidiez alors vous ne pourrez pas lui venir en aide. Ce qui dépend uniquement de vous est la disponibilité que vous lui avez proposée.
D’ailleurs cela me rappelle un billet sur la différence entre le besoin et la demande : https://leblogdesrapportshumains.fr/pas-de-demande-pas-de-probleme/
A bientôt
Entièrement d’accord avec toi 🙂
Bémol à votre article: il est des gens qui ne savent pas ou n’osent pas demander d’aide, même lorsqu’ils en auraient grand besoin, quand leurs demandes d’enfants n’ont jamais été prises en compte, par exemple. Je fus de ces personnes. La première aide que j’ai pu recevoir est venue de quelqu’un de très ouvert qui a simplement fait en sorte que mes actions (et mes compétences, mes attitudes etc.) soient valorisées et « comptabilisées » (à mes yeux du moins) comme outils de développement. Un traitement psy a été indispensable, mais le coup d’envoi a été relationnel, et de la part d’une personne qui, en plus, a été surprise de l’impact qu’elle a eu. Souligner ce qui va bien donne aussi des armes pour combattre ce qui ne va pas
Merci, mais ce n’est qu’une expérience parmi bien d’autres… J’estime qu’en France, on a beaucoup trop tendance à voir ce qui ne va pas, pour trouver le spécialiste qui va suppléer -et ce peut être nécessaire-. Mais on néglige complètement les forces vives de la personne ou du groupe pour ressentir ses moyens d’action, notion que j’essaie de faire passer en formation: regarder ce qui va bien donne autant de moyens -le plaisir en plus- en générant des solutions auxquelles on n’aurait sans doute pas pensé en faisant l’inventaire de ce qui ne va pas
Bonjours,
et merci pour vos questions. Je sais d’avance que je m’engage dans quelque chose qui me dépasse ou me dépassera mais j’ai commencé à aider cette personne. Je n’ai aucune envie de m’arrêter là, pas parce que je m’y sens obligé mais parce que j’essaie de faire autant de bien à cette personne qu’à moi, sans trop m’y accrocher (en cas d’une réponse négatif à mon aide). Voilà j’aide un ami depuis quelques semaines, mais malgré mes efforts j’ai du mal à trouver mes mots pour l’emmener vers son but. Je n’ai pas la science infuse moi non plus et j’ai peur pour lui. Je sais que ma question va vous paraitre complexe ou tout simplement vaste mais qu’est-ce qui serait le mieux pour lui, un vrai psychologue, le pousser a en parler a sa famille proche ou tout simplement arrêter de le pousser à un but qu’il refuse obstinément d’attendre par peur de se rater.
Bonjour Laurent
merci pour votre partage et témoignage.
Votre question appelle une simple réponse : personne d’autre que votre ami ne saura jamais aussi bien que lui ce qui est le mieux pour lui. Il n’appartient alors qu’à lui d’écouter ce qu’il a à se dire.
A bientôt
Merci pour votre réponse si rapide Christophe Peiffer
Merci Christophe, votre plume est inspiree et inspirante. Elle me permet de mettre de la lumiere sur mes questionnements (ou zones d’ombres). C’est exactement ce que j’avais besoin d’entendre aujourd’hui. Le hasard n’existe pas. Un enorme merci et je vous souhaite beaucoup d’amour. Continuez, car vous aidez tellement de personnes. merci
Merci à vous Nadia pour votre retour.
Il m’encourage à continuer les publications 🙂
bonjour Je voudrais savoir si il y à des possibilité de venir en aide à ma fille ;Elle se retrouve seule avec 5 enfants en mauvaise santé .Devant subir une grosse operation le 2 fevrier .Elle à eu la chance d’etre reloger dans un pesbitaire par le Maire du village .Mais voila etant trop grand pour chauffer elle se retrouve avec des facture de plus de 500 euros par mois de fuel ,et les murs son gorgé d’eau qui dégouline et des champignons se créée Monsieur le Maire un homme trés bon ne sais quoi faire ;Elle n’a pas les moyen de déménager n’y de trouvé ce loger ailleur j’ai peur pour elle ;Mon mari etant invalide et moi andicapé ne pouvons pas l’aidé ;Je vous remercie d’avance si vous pouviez nous aider ;Elle habite dans le presbitaire de la commune de Lutzelbourg dans le 57 et ce nomme Cindy Mertz .Une maman triste ne sachant quoi faire
la situation m’inquiette de plus en plus
Bonsoir Marie-Angèle
Merci pour votre témoignage et votre commentaire sur cette situation apparemment complexe et préoccupante.
Ce type de contexte dépasse malheureusement le support que peut proposer ce blog. Je vous inviterais néanmoins à vous rapprocher d’une assistante sociale de votre secteur ou du secteur de votre fille. Elle pourrait vous fournir les renseignements et vous informer sur les aides (parfois insoupçonnées) dont pourrait bénéficier votre fille.
Je vous souhaite d’avoir du courage et toutes les ressources dont vous auriez besoin dans cette situation.
Christophe
Bjr moi j suii dan le besoin jai besoin de votr soutien mon contact +22679988066
Bonjour ! Je suis dans une position difficile..
D’un côté j’ai ma soeur qui a de gros soucis financiers avec mon beau frère et mes neveu/nièce. Et de l’autre mon ami, ma vie de famille avec mes deux enfants en bas âges.
On a souvent aidé ma soeur financièrement, trouvé un travail en intérim à mon beau frère qu’il n’a pas tenu 3jours…
Il commence des travails et se fait arrêté à chaque fois avant de pouvoir être embauché.. on se demande si il tient vraiment la route niveau travail ou si il n’a vraiment pas de chance.
Ma soeur ne travail pas, est maman au foyer sans chômage. Ils vivent avec un chômage pour 4 , son en hlm, assignés au tribunel pour explusion s’ils ne paient pas leur prochain loyer..
Je veux les aider de nouveau financièrement mais mon ami ne veut plus, il dit que ce n’est pas leur rendre service.. mais y a urgence! Ça pèse sur mon couple, je me sens écartelée (caliméro). Mon amo se lance en maraîchage, a ses inquiétudes qui peuvent se comprendre et puis il veut préserver sa famille. Mais j’essaiede lui dire que si ça nous arrive, on aura besoin d’aide aussi.
Bref, je ne sais plus quoi faire.
Que puis je faire pour eux pour les aider mais de façon non financière??
Je précise que ma soeur ma fait part de son besoin d’aide et qu’ils n’ont plus personnes vers qui se tourner à part nous, ma mère et mes grands parents..
Merci d’avance pour votre soutient!!
Bonjour
Merci pour votre témoignage qui décrit bien la situation compliquée que vit votre soeur.
Je comprends que vous viviez vous-même un conflit interne très important de loyauté familiale.
Si vous souhaitez diminuer ce tiraillement, orientez-vous sur ce qui dépend vraiment de vous et ce qui ne dépend pas de vous dans votre propre situation (car la situation de votre soeur ne dépend de vous).
Il semblerait aussi que la problématique de votre soeur soit sociale en plus de financière; et qui de mieux qu’une assistante sociale pour épauler des familles dans la difficultés ?
Merci pour votre réponse.
Ils sont suivis par une assistante sociale mais du coup, je me pose la question à savoir si elle fait de son mieux pour les accompagner ou s’il ne devraient peut être pas en choisir une/un autre.
Vous pensez alors que leur soucis relèvent du plus social que du financier, qu’est-ce qu’il vous fait penser ça? Alors les aider financièrement n’arrangerait rien comme pense mon ami.
Cordialement, melle Saillard.
Bonjour
En fait je disais que la problématique semble être sociale EN PLUS d’être financière. Du coup, je ne suis pas sûr qu’agir sur un seul des éléments (le financier) soit suffisant à moyen et long terme.
J’aime beaucoup vos conseils. Car je suis dans un tel cas.
Comment faire pour trouver Une personne capable de dire ce que l’on pense en direct ? »
Ce que tu penses doit venir de toi et non pas d’une personne dans ton entourage parce que il n’y a que toi qui connait ou peut se souvenir des petits ou grands détails en le disant Courage !
Bonjour,
Ce sont de sages conseils issus de l’analyse transactionnelle, il me semble.
Je regrette que vous ne citiez pas vos sources.
Bien à vous